...pas grand chose à dire. L'école est toujours aussi fatigante, mais elle peut aussi être drôle.
Les dernières, au fait, du latin :
V. fait un exercice sur les déclinaisons au tableau.
Prof : — Alors, c'est quelle déclinaison, ça ?
V. — Euh... bonne question...
On parle des divinités mythologiques : A. : — Et est-ce que ça existe, un mot pour dire une sirène en garçon ?
Prof : — Non, je crois pas... sirènot ?
N. : — Ah, oui, Sirènot de Bergerac !
(Il s'est avéré au cours de mes recherches que la sirène mâle, bien que rare et inexistant dans la plupart des légendes, est le triton, quel nom débile).
A. a trouvé une définition (inattendue) du mot épigramme : mince tranche de poitrine d'agneau.
V. murmure : Ah, ouais, ça me rappelle... puis en criant : — Si vous êtes blonde et de forte poitrine, ça m'intéresse aussi !
Sinon, je relis HP 6 (ben, en fait, je le rerererererelis), mais je suppose que vous en avez un peu assez que je chante en permanence les louanges de Harry Potter ; même mes copines, plus ou moins fans, commencent à se lasser et à faire une dépression harrypotterienne, elles ne supportent plus ce bouquin. Moi-même, à vrai dire, je le connais tellement par cœur que je me demande comment j'arrive à ne pas décider une pause de trois ans. La fidélité, sans doute.
Les dernières, au fait, du latin :
V. fait un exercice sur les déclinaisons au tableau.
Prof : — Alors, c'est quelle déclinaison, ça ?
V. — Euh... bonne question...
On parle des divinités mythologiques : A. : — Et est-ce que ça existe, un mot pour dire une sirène en garçon ?
Prof : — Non, je crois pas... sirènot ?
N. : — Ah, oui, Sirènot de Bergerac !
(Il s'est avéré au cours de mes recherches que la sirène mâle, bien que rare et inexistant dans la plupart des légendes, est le triton, quel nom débile).
A. a trouvé une définition (inattendue) du mot épigramme : mince tranche de poitrine d'agneau.
V. murmure : Ah, ouais, ça me rappelle... puis en criant : — Si vous êtes blonde et de forte poitrine, ça m'intéresse aussi !
Sinon, je relis HP 6 (ben, en fait, je le rerererererelis), mais je suppose que vous en avez un peu assez que je chante en permanence les louanges de Harry Potter ; même mes copines, plus ou moins fans, commencent à se lasser et à faire une dépression harrypotterienne, elles ne supportent plus ce bouquin. Moi-même, à vrai dire, je le connais tellement par cœur que je me demande comment j'arrive à ne pas décider une pause de trois ans. La fidélité, sans doute.
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